Difficile de rester insensible aux très nombreux témoignages des étudiants, démunis, désemparés, oubliés. À la précarité économique s’ajoute désormais une précarité sociale et psychologique.
La situation est alarmante. Et que fait le gouvernement ? Il met en place des numéros verts et ne parle aux jeunes que pour leur faire la morale, les imaginant tous en soirée clandestine.
Alors qu’il reste muet et ne répond pas aux appels de détresse, plusieurs mesures d’urgence sont nécessaires
Rouvrons les facs et les écoles à 50% de leurs capacités avec prise de température obligatoire et test PCR toutes les 2 semaines sur place à l'entrée.
Appuyons-nous sur les collectivités territoriales pour ouvrir des milliers de jobs étudiants.
Donnons la possibilité aux entreprises d’embaucher sans charges un jeune pendant 2 ans.
Distribuons massivement des tickets-restaurants aux étudiants et apprentis sans revenus.
Renforçons les sanctions contre les distributeurs qui détruisent leurs invendus alimentaires et obligeons les surfaces de + de 200m2 à donner leurs invendus à des associations.